mercredi 31 décembre 2008

Revue de l'année en chanson

Don't stop believing (Journey)
How soon is now? (The Smiths)
Saoul comme une botte (Plume Latraverse)
Harmonie du soir à Châteauguay (Beau Dommage)
Stripped (Depeche Mode)
Sex bomb (Tom Jones)
La balade des gens heureux (Gérard Lenorman)
How I am (Duke Squad)
Travailler, c'est trop dur (Zachary Richard)
Je t'aime tout court (Nicolas Cicone)
Disconnect (She Wants Revenge)
Sunday, bloody Sunday (U2)
Hit me with your best shot (Pat Benatar)
Je suis malade (Serge Lama)
Fume fume fume (Excentriques)
Soir de scotch (Luce Dufault)
Hard habit to break (Chicago)
Let's get physical (Olivia Newton-John)
C'est bon pour le moral (La Compagnie Créole)
We are family (Sister Sledge)
That's what friends are for (Plusieurs artistes)
I will survive (Gloria Gaynor)
Girls just want to have fun (Cindy Lauper)

lundi 29 décembre 2008

Un peu partout

À l’hôpital (1/2 heure):
Combien vous dites?
4 à 6 semaines de convalescence et sans pouvoir être debout plus d'une heure par jour?
Ah bon! Et je fais quoi de mes enfants pendant tout ce temps?
Je les attache après les pattes du poêle?
Merci mais, non merci.
Je vais vivre avec le petit inconfort (que j'endure très bien depuis 8 ans) jusqu'à ce que les enfants soient ados ou adultes.
De plus, il paraît qu'il est possible qu'avec l'entraînement, tout pourrait éventuellement entrer dans l'ordre ou s’empirer.
Je prends mes risques!!!

Au centre d’achat (10 minutes):
Maudit que ça coûte cher mais, j’ai vraiment plus le choix.
Je veux cette télé.
Oui mais Madame, il y a plus grand et il y a tout cet équipement.
Non merci, je vais prendre celle-ci.
Vive le Protégez-vous.

Au magasin de jouets (1 heure) :
Je veux ça maman.
Je veux ça maman.
Je veux ça maman.
Je veux ça maman.
1 seul jeu chaque les gars et pas trop cher en plus.
Ahhhhhh!!!!

À la maison (1 heure) :
La télé d’en haut, s’en va en bas.
Oui, oui maman, tu peux avoir celle d’en bas.
Non, je ne la veux pas dans ma chambre, je n’ai pas de câble dans ma chambre.
Ouf, ça rentre juste.
Bâtard, il y a donc bien des fils après ça?!?!
Ok, tant pis, je suis tannée là! La télé fonctionne et le cinéma maison aussi. On arrangera le reste une autre fois.
Wow, elle est donc ben belle!!!

À la maison bis (1 heure) :
Oh boy Momo, d’où viennent ces grosses boîtes?
Maman, est-ce qu’on peut se faire un maison avec?
Non, maman ne peut pas rentrer dedans les gars.
Je ne peux pas croire que je vais être « pogné » avec ça des semaines.
Bah au moins, ils s’amusent.
Oui oui, tu peux amener ton oiseau dedans.
Oui oui, tu peux cacher tes trésors.
Non non, je ne la déferai pas (pas pour le moment en tk).
Maudit que c’est gros!!!

dimanche 28 décembre 2008

Pleurs et Fou-Rires

J'ai eu de la difficulté à me lever hier matin. J'étais vraiment trop bien sous mes couvertures.
Comme je n'arrivais pas à me décider à me lever pour aller m'entraîner, j'ai pensé que, comme il ne faisait pas très froid, peut-être que mes souliers de courses aimeraient essayer l’asphalte pour faire changement.
Instantanément, la motivation m'est revenue et je me suis jetée en bas du lit.
Comme je n'ai pas vraiment de vêtements de course pour l'extérieur, j'ai décidé de m'habiller en journée froide de vélo.
Donc, en 2 temps 3 mouvements, j'ouvrais la porte de l'entrée de la maison mais, j'ai vite déchantée lorsque j'ai réalisé que la seule façon de me rendre à la route était de patiner à travers le stationnement jusqu'à la rue.
Je voyais bien que les routes avaient l'air belles, mais je n'avais aucune envie de glisser sur une plaque de glace noire et me casser la « marboulette ».
J'ai donc été mettre des vêtements moins chauds et j'ai fait mon entraînement dans le sous-sol, comme à mon habitude.
N'empêche que là, j'étais motivée et réveillée et ce fut l'entraînement le plus agréable que j'ai eu depuis le début des vacances.
La journée a passé très vite.
De retour à la maison après un excellent souper chez ma soeurette, une fois les enfants lavés et couchés, j'ai décidé de regarder ce qu'il y avait de bon à la télé.
Sur une chaîne de l'Ouest du pays, ils présentaient, un film nommé : La Nouvelle-France.
Par curiosité, et surtout car un des personnages principal était François Le Gardeur (beaucoup entendu parlé mais, ne savais pas qui il était exactement), j'ai décidé d'en regarder un petit bout.
Bien que « romantisé », ce film avait pour trame de fond, l'acquisition par l'Angleterre de la Nouvelle-France.
Je m'attendais à un film basé sur l'histoire mais, j’ai plutôt eu droit à une histoire d'amour des plus tristes.
En gros, sur 2 heures et demi de film (3 heures avec les pauses publicitaires), il y a environ 15 minutes de positif ou de lueur d'espoir. Le reste n’est que tristesse et déception.
À mon avis, un vrai "chick flick" qui ne fini pas vraiment bien.
Tout ça pour dire que, bien que très triste, je n'ai pas versé une seule larme tout au long du film.
Étant une émotionnelle, j'ai toujours été du genre à vivre mes joies et mes peines à l'extrême.
J'ai toujours trouvé qu'il n'y avait rien de plus libérateur que le fou-rire à en avoir mal au ventre ou pleurer à en passer une boîte entière de mouchoirs.
N'empêche que j'aime pleurer. Ça fait du bien pleurer.
Pas juste quelques larmes qui coulent le long de nos joues mais, les vrais pleurs. Ceux qui te donnent l'impression de vider ce coeur qui est aussi pesant que s'il était empli de toute l'eau de l'océan.
Ces pleurs, qui peuvent durer des heures mais, avec lesquels une fois terminés, ont se sent tellement plus léger. La souffrance semble ensuite tellement moins grande. Tellement moins difficile à traverser.
C'est pleurs qui font tellement de bien!!!
En regardant le film, je me suis donc demander quand était la dernière fois où j'ai vraiment pleurer.
J'ai trouvé! Le 3 juillet 2007 (Jour du décès de mon père).
Et le fou-rire lui? Celui qui pour l’espace d’un moment, te fait tout oublier. Les responsabilités, les problèmes, les ennuies. Celui qui rappelle combien on était bien enfant. Celui qui rend tout simplement le reste de la journée plus agréable. Celui qui à un moment inattendu, plusieurs heures/jours plus tard, un événement nous le rappelle et on sourit encore tout seul comme un idiot.
J’ai beau chercher. Impossible de me rappeler.
Est-ce que c’est ça vieillir? Ne plus pouvoir pleurer ou avoir le fou-rire?

++++

Anecdote :
Comme je n'étais pas particulièrement fatiguée, j'ai regardé le film au complet, soit jusqu'à 1 heure du matin.
Ensuite, chose étrange, la perruche de mes enfants, qui dort normalement la nuit, s'est jetée à l'extérieur de sa cage (ses plumes de vols sont coupés et la porte n'est jamais fermée). Je l'ai donc aidé à retourner dans sa cage suspendue et alors que j'allais me coucher, elle a recommencé son manège.
Comme elle n'a vu les enfants que 15 minutes en 3 jours, est-ce que ce serait possible qu'une perruche aussi s'ennuie?

vendredi 26 décembre 2008

Surplus d'énergie

Comme je n'avais pas beaucoup dormi, j'ai passé la journée d'hier écrasée. Tellement relaxe que je n'ai même pas trouvé la motivation de m'entraîner. C'était la première fois que je sautais une journée depuis que j'ai repris l'entraînement.
Je n'étais pas très fière de moi mais, j'avais grandement besoin de ce repos.
J'en ai par contre profité pour penser et réorganiser mes idées. Ça m'a fait le plus grand bien.
Heureusement, j'ai eu une excellente nuit. J'ai dormi plus de 10 heures. Et je me suis réveillée beaucoup mon souffrante du rhume.
Donc, après 24 heures de repos/dodo, j'avais un surplus d'énergie.
J'ai donc fait mon entraînement et, j'ai été surprise de le trouver très pénible. Il est vrai que comme j'ai encore le nez congestionné, respirer seulement par la bouche n'est pas simple quand le coeur bat à 165 bpm et les dessous de mes pieds sont fendillés. Même en souliers de course ça fait drôlement mal.
J'aurais cru qu'un entraînement si difficile aurait calmé mes ardeurs mais non, j'avais toujours ce surplus d'énergie.
C'est à ce moment que j'ai ressenti pour la première fois depuis plusieurs semaines la pesanteur d'être seule.
Je n'avais aucune envie de me promener dans les magasins en ce "boxing day" et je me demandais bien ce que font les gens seuls pour ce distraire.
Étant maman, je suis rarement seule. Et lorsque c'est le cas, j'en profite généralement pour faire tout ce que je ne peux pas faire librement lorsque les enfants sont là.
N'empêche que j'ai trouvé le moyen de dépenser un peu de mon énergie. J'ai fait du ménage, du lavage et j'ai réorganisé quelques petites choses dans la maison. Comme les tonnes de jouets que les enfants ont eux pour Noël.
Les enfants seront de retour demain matin et le tourbillon quotidien recommencera.
2 jours sans les voir et je m'ennuie déjà.
Ah la maternité!!!

jeudi 25 décembre 2008

Le corps de femme

Lorsqu'on prend une journée pour soi et qu'on a envie de "faire la grosse paresse", c'est presque inévitable, la télé est ouverte et on "pitonne".

À mon avis, la pire journée pour regarder la télé est sûrement le 25 décembre. Simplement parce que tout ce qui pourrait être intéressant, on l'a déjà vu 15 fois par le passé et le reste, est tout ce qu'il y a de plus ennuyant. Spécialement pour quelqu'un comme moi, qui n'est pas particulièrement fan de Noël et encore moins des émissions de Noël.

Toujours est-il que la télé est ouverte depuis le matin et oui, évidemment, je "pitonne".

Avez-vous déjà remarqué les femmes à la télé?

Bien que je sois une femme assez forte de caractère et plutôt sûre d'elle. J'ai une grosse faiblesse : l’acceptation de mon corps.

Depuis que je suis toute jeune, je me bats littéralement pour obtenir un corps acceptable. Non pas une taille 6 ou moins comme on voit à la télé mais, acceptable. Et quand je suis exposée à toutes ces femmes, je réalise combien je suis encore vulnérable. J'ai 38 ans, imaginez ce que ça peut faire à une adolescente.

Évidemment, j'ai appris avec les années à contrôler mon poids et je me tiens dans le tout ce qu'il y a de raisonnable. Mais, la petite fille en moi est toujours instable. Toujours à la recherche de ce regard de l'autre qui dit : « Comme tu es belle!!! »

Parfois je me dis que j'aimerais, pour 24 heures, avoir un corps de déesse. Simplement question d'observer le comportement des autres envers moi. Je suis convaincue que le corps parfait féminin ouvre plusieurs portes.

C'est déprimant!!!

Le camion rouge

Un enfant désirait un camion rouge.
Comme il en rêvait presque à chaque nuit, il en avait une image très claire.
À plusieurs reprises, l'enfant a dessiné le fameux camion rouge et a expliqué à qui voulait bien l'entendre tous les détails, toutes les facettes de ce merveilleux camion.
Comme l'enfant était entouré de gens qui l'aime, ils ont cherché partout pour trouver le camion rouge tant convoité.
À chaque occasion, l'enfant recevait de nouveaux camions rouges, tous plus extraordinaires les uns que les autres. Sa chambre en était remplie.
À chaque fois qu'il recevait un nouveau camion rouge l'enfant sortait son plus beau sourire et donnait de gros calins à ceux qui le lui avait offert car, malgré qu'il ne savait pas pourquoi ils n'avaient pas compris que ce n'était pas le bon camion rouge, il était conscient de l'effort que sa famille et/ou amis avait mis pour lui offrir ce cadeau.
Pourtant, lorsqu'il en avait l'occasion, l'enfant allait dans sa chambre et bien assis dans son petit coin favori, regardait la montagne de camions rouges qui se dressait devant lui.
Son coeur était rempli de tristesse, des larmes coulaient le long de ses joues. Ensuite, il pensait à tous ceux qui l'aime et qui, le désirent heureux et il séchait ses larmes du revers de la main. Il remettait son plus beau sourire et retournait vers les gens occupés à leur petites choses quotidiennes et, qui ne pouvaient pas voir sa peine et ce qui venait de se passer.
L'enfant savait très bien ce qu'il voulait. Il aimait déjà tellement le petit camion rouge qu'il voyait dans ses rêves.
Un seul problème se posait. Le camion rouge tant désiré... n'existait que dans sa tête et dans son coeur d'enfant.

Toute une veille de Noël




Premièrement, il est important de mentionner que je ne suis pas une grande fan de Noël, ni des fêtes en général (incluant la mienne).
La seule fête qui me plait est le Jour de L’An. En fait, c’est plutôt le concept d’une nouvelle année qui débute. En gros, tant que j’ai les gens que j’aime autour de moi (particulièrement mes enfants) à Minuit le 31 décembre, tout le reste est sans importance.
On dirait que ce moment, c’est comme une façon d’espérer que la nouvelle année sera meilleure. D’effacer le passer et recommencer à neuf.
Évidemment, il y a des choses que je ne désire pas effacer de mon passé mais, c’est comme si, tous les espoirs étaient permis pour la nouvelle année.
Comme si, celle-ci serait la bonne. La plus belle. Celle, dont tout le monde rêve. Celle qui est remplie de joie et sans l’ombre d’une peine, d’une déception.
Cela dit, la soirée d’hier fut très agréable.
Malgré que nous avons bien rit de ma soeurette qui, avait traversé les intempéries pour se joindre à nous et, à quelques minutes de l’arrivé a réalisé qu’elle avait oublié tous ses cadeaux.
Pauvre petite chouette. Surtout que son mal de dos la fait énormément souffrir. Mais, elle garde son sourire, son moral et surtout son merveilleux cœur.
Nous avons débuté la soirée avec du Karaoké. Les enfants ont bien ris et nous aussi.
Ensuite, ce fut le moment du souper et ce, a peine 2 heures après avoir grignoter des tonnes de cochonneries.
Nous avons réalisé que nous n’avions qu’une seule bouteille de vin pour 5 adultes. Bah, on a trouvé le moyen de faire avec.
Ensuite, ce fut le moment des bains. Matthew ne croit plus au Père Noël mais, voulait bien jouer le jeu pour son jeune frère.
Nous avons donc pris les bains pendant que les autres se précipitaient chez grand-maman (qui habite sur mon garage) pour aller chercher la montagne de cadeau.
Grand-Maman a fait sonné des clochettes imitant les rennes du Père Noël et William a eu les yeux brillants.
Vite, vite, on sort du bain. Et on court voir par la fenêtre si on pourrait peut-être encore apercevoir le traîneau du Père Noël. C’était magique!!!
A la vue de tous les cadeaux, les enfants étaient émerveillés.
Ensuite, ce fut l’ouverture des cadeaux. Ça a pris environ 2 heures. 2 heures à ouvrir et défaire des boîtes d’emballages super complexe. Pourquoi faut-il que les manufacturiers nous rendre la vie si difficile?
À chaque nouveau cadeau, William s’exclamait, avec ses gestuels et mimiques habituels : « Wow, this is exactly what I wished for! », « This is the best Chrismas ever!!! ». Il n’a que 4 ans et demi.
Tout le monde pouvait vivre le Noël à travers ses yeux d’enfant.
Malgré un petit problème de vadrouille, où j’ai « pogné» un peu les nerfs après ma mère. Tout s’est merveilleusement bien déroulé.
Les enfants ont joué avec leurs nouvelles « bébelles » et dodo pour eux.
Ensuite, tout le monde a quitté. Épuisés de leur soirée mouvementée.
Je n’allais pas me plaindre car, j’avais très mal dormi et j’étais complètement vêlée (comme aurait dit mon ancienne belle-mère).
Une fois la maison silencieuse, je me suis fait couler le plus merveilleux des bains moussants et après de longues minutes, je suis allée me coucher.
Malheureusement, pour passer une nouvelle nuit mouvementée de rêves et de « stress ».
Tôt le matin, les enfants se sont réveillés et cette fois, pas question que maman reste au lit. Il y avait trop à faire. « Maman, mon Ipod ne fonctionne pas. », « Maman, j’ai besoin de batteries », « Maman, comment ça marche ça? », « Maman, vient jouer avec moi ».
Malgré ma fatigue, je planais de les voir si joyeux.
Nous avons déjeuné. « Patanté » (c’est le mot) les jeux et vers midi, leur papa est venu les chercher pour 2 jours.
Je suis un peu triste qu’ils ne soient pas avec moi mais, d’un autre côté, j’ai besoin de ce moment.
Ah oui, j’oubliais. Mon ex (le papa de mes enfants) m’a offert en cadeau, 2 billets pour le spectacle « Les Ex ». J’ai décidé que nous irions ensemble. Après tout, une fois la tempête terminée, il faut bien en rire un peu.
J’ai aussi eu une boîte de biscuit de la compagnie « Isabelle », vous connaissez? Moi j’en avais jamais entendu parlé.
Joyeux Noël à tous!

Enfin une journée de repos

Depuis le début de mes vacances, c’est cour ici, cour là. J’avais besoin de reprendre mon souffre un peu et aujourd’hui, je pense à moi.
J’ai eu une nouvelle mardi dernier, bonne ou mauvaise, je vous laisse juger.
L’hôpital m’a appelé pour m’informer que je me ferai opérer le 7 janvier prochain.
Quel début d’année 2009!!!
Ce n’est rien de grave mais, c’est une opération pour remédier à un important inconfort. Le problème est que si je décide de ne pas y aller, je devrai attendre à nouveau 1 an et sûrement même plus pour obtenir une nouvelle date d’opération.
J’ai donc, un plus pour l’opération et plusieurs moins. Les voici :
- Le projet sur lequel je travaille depuis une éternité au bureau est dû pour être déployé le 8 février.
- L’opération m’oblige à ne faire aucun effort pour 1 à 2 semaines et très peu d’effort pour les 4 semaines subséquentes. J’hais ça, ne rien faire.
- Je dépendrai pendant les premiers moments, complètement de ma mère.
- Je serai limité dans mes interactions avec mes enfants (gros moins).
- Je ne pourrai pas m’entraîner pendant 6 semaines, ce qui mets en péril le Cyclo-défi pour vaincre le cancer que j’avais prévu faire en juillet. http://mo09.conquercancer.ca/site/PageServer?pagename=mo09_FR_homepage&s_locale=fr_CA
Je dois me rendre à l’hôpital le 29 décembre prochain pour une prise de sang. Il semble que je pourrai poser autant de questions que j’en aurai envie.
J’essaie donc de ne pas trop m’en faire pour le moment et, je prendrai ma décision après ce rendez-vous.
N’empêche que je ne dors pas bien et le « stress » me ronge.